par Thierry Maindrault
C’est un binôme, un peu improbable que nous présente la galerie aixoise (Aix en Provence en France) Parallax. Notre planète se montre sous deux visions guère optimistes, elles-mêmes parallèles. Il n’était pas évident d’imaginer les visions oniriques, limites cauchemardesques, de Jean Marc Yersin venir se fusionner avec les conceptions cartésiennes et leur impact dans un Monde en fuite, à la façon de Sébastien Pageot. Ce n’était pas, ce n’est pas, ce ne sera pas possible. Pourtant, cette idée de manque pas d’intérêt tant notre planète propose des variétés de situations et tant l’homme compose des adaptations improbables.