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Te Atatu Me: photographs of an urban New Zealand village de John B Turner

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Te Atatu Peninsula, est situé dans le West Auckland en Nouvelle Zélande. En Maori, Te Atatu signifie ‘l’aube’: c’est la communauté dans laquelle le photographe John B Turner, enseignant à la Université of Auckland, a vécu pendant 15 ans avant de déménager à Pékin à sa retraite de fin 2011.

Te Atatu Peninsula fait quatre kilomètres de long et deux kilomètre de large à son plus haut point. Parce que sa masse terrestre plate est clairement définie par la frontière de la Henderson Creek à l’ouest et le Waitemata Harbour à l’est, tout sur la péninsule est à distance de marche et se prête à la possibilité d’une une concrète documentation photographique de son apparence physique. « En tant que photographe, mon intérêt était à la fois pour l’endroit lui-même et ses gens qui constituent une communauté unique avec sa propre histoire distincte et son caractère » raconte john B Turner.

Plutôt que de travailler sur des grands thèmes ésotériques, il aspire à photographier la vie de famille et les événements quotidiens dans la longue tradition du photographe amateur, plutôt que de répondre à des commandes d’agence ou d’éditeur, conscient que nombre d’apsect de la vie ne sont pas enregistrés autant qu’ils le mériteraient. Depuis les années 60, John B Turner photographie en noir et blanc les endroits où il vit. Attiré par les nombreuses capacités des appareils numériques, Te Atatu Peninsula est devenu le sujet de son premier essai en couleur.

Alors qu’il a souvent écrit sur l’histoire de la photographie de Nouvelle-Zélande et en tant que professeur et éditeur (PhotoForum magazine, créé en 1971), ou aidé de nombreux photographes à faire leurs propres livres, c’est son premier livre de photographies personnelle. Ses influences, sur plus de 55 ans, égrennent une longue liste de photographes qui ont photographié les endroits où lui-meme vécu, plus familiers qu’exotiques: Londres de John Thomson et Bill Brandt, Prague de Joseph Sudek, New York de Berenice Abbott et Andre Kertesz, la Californie de Dorothea Lange. Et le Paris  d’un Eugène Atget, de Robert Doisneau et Henri Cartier-Bresson. Mais aussi des photographes pionniers de la Nouvelle-Zélande comme Dr A.C. Barker et les Tyree brother qui ont su ont enregistrer les changements qui s’y passaient.

Lire l’intégralité de l’article dans la version anglaise de L’Oeil.

LIVRE
Te Atatu Me: photographs of an urban New Zealand village
Photographies de John B Turner

TURNER PHOTOBOOKS / PHOTOFORUM INC
ISBN 978-0-9597818-7-8
Avril 2015
176p, 168 photographies, 7 illustrations,
215 x 285 mm
Couverture rigide
RRP NZ $60 including GST

http://jbt.photoshelter.com

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