Depuis la nuit des temps les hommes laissent leurs traces dans les déserts du monde entier. J’avais envie de montrer que le Sahara algérien n’échappe pas à la règle. Les voies ferrées des anciennes lignes de la colonisation française, ces “objets” qui n’existent que parce que le pétrole a coulé en Algérie, le tourisme naissant dans l’erg occidental, l’Islam y a aussi sa place…
Ces traces concourent à montrer que le désert n’est pas aussi désert qu’on veut bien le dire. Il couvre la majeure partie du territoire, il fait vivre le pays, il est bien présent. Il est bien vivant.
Lotfi Mokdad
