Exposée en ce moment chez Bonni Benrubi à New York, la photographe française Karine Laval poursuit son exploration des éléments. Ici, l’eau est une nouvelle fois à l’honneur, comme dans ses précédentes séries The Pool et Poolscapes. De l’eau rouge comme le feu : allusion à cette deuxième matière qu’elle introduit aujourd’hui pour la première fois dans son œuvre. Au fond de ce fluide étrange se meut une silhouette, celles d’un danseur – auquel l’artiste brooklynienne voue un goût certain pour son identité sexuelle indiscernable – et un film métallique – le mylar – dont les oscillations provoquent reflets, distorsions et compositions énigmatiques.
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