On y parle le Féroïen. Des tunnels routiers, des routes, des ponts permettent aux habitants de ces 18 îles danoises d’y circuler. La première présence humaine sur cet archipel pourrait remonter au 4ème siècle. La Nature continue d’y régner en maître. Les moutons également, et leurs bergeries. Le terme « Féroé » pourrait signifier « L’île aux Moutons ». Il y a ces villages, au creux des fjords abrutis de silence. Et ces autres maisons, celles de l’Homme, ou celles des moutons, qui s’agrippent aux montagnes, et s’y confondent parfois. Chacune semble faire siennes ces roches volcaniques. J’ai ressenti ce besoin profond de figer cette communion authentique entre le Féroïen et son archipel. Et la laisser parler. – Gwenola Barbot
Gwenola Barbot est autodidacte et s’intéresse à la photographie depuis plus de 10 ans. Dans un premier temps adepte de la photo en studio, elle s’est plus récemment orientée vers la photographie de paysages, et les Îles Féroé a été une occasion unique de s’y adonner pleinement.
