Photographe depuis presque longtemps. De l’argentique au numérique, d’une technique à une autre, l’absence, presque constante, au fil des ans, d’une photo à l’autre. Pastorale photographique qui se finit dans un champ d’abandons après la mort du berger : portes, ombres, exode, témoin, solitude, arbre, écho, fenêtres, pierre, souvenirs, disparu, ruines … Des mots, des mots et des sentiments, pour celui qui reste, pour celui qui veut cadrer dans ses photographies cette invisible absence.
Charles Klein