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Le Questionnaire : Patricia Faure par Carole Schmitz

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Patricia Faure : Libre & Sauvage

 Née dans les années 70, Patricia Faure est avant tout une femme libre qui vit sa vie avec passion. Autodidacte, son parcours professionnel est extrêmement atypique.

En effet, son esprit bohème et son besoin d’évasion l’amènent rapidement à parcourir la planète, ouvrant des restaurants, des bars, mais aussi des galeries et des concepts stores aux Etats-Unis, au Mexique et en France.

Aujourd’hui, elle consacre le plus clair de son temps à la photographie. Son objectif : faire de « l’art » en s’inspirant du quotidien et du corps des femmes, nu de préférence.

Si la photographie tient une importance primordiale dans sa vie, Patricia est également très habitée par la musique qui, selon elle est « un incroyable vecteur de sensations qui peut sublimer toutes les émotions ». C’est d’ailleurs, l’une des raisons qui l’ont amené, il y a plus de 25 ans, à passer derrière les platines… Et oui ! Elle est aussi Djette. La musique la revigore et lui donne l’impression de couler dans ses veines.

Instinctive, créative et rêveuse aussi, elle ne s’interdit rien et travaille actuellement sur plusieurs projets artistiques.

 

Website : www.patriciafaure.net
Instagram : patriciafaurephothography

 

Votre premier déclic photographique ?
Patricia Faure : Depuis toute petite, j ‘aurais voulu conserver tous mes Kodaks.

L’homme ou la femme d’image qui a pu vous inspirer ?
Patricia Faure : Sally Mann.

L’image que vous n’avez pas encore réalisée et que vous aimeriez réaliser ?
Patricia Faure : Mon autoportrait nue !

Celle qui vous a le plus ému ?
Patricia Faure : C’est une affiche de cinéma « Itinéraire d’un enfant gâté ».

Celle qui vous a mis en colère ?
Patricia Faure : Qu’on me demande avec quoi je shoot !

Une image clé de votre panthéon personnel ?
Patricia Faure : Ma grand-mère, clope au bec (elle ne fumait pas).

Un souvenir photographique de votre enfance ?
Patricia Faure : La plage bondée à Cannes un 15 Aout.

L’image qui vous obsède ?
Patricia Faure : Toutes les images de Martin Parr.

Sans limite de budget, quelle œuvre rêveriez-vous d’acquérir ?
Patricia Faure : Le piano de Serge.

Selon vous, quelle est la qualité nécessaire pour être un bon photographe ?
Patricia Faure : Aimer la vie.

Le secret de l’image parfaite, s’il existe ?
Patricia Faure : Aucune photo n’est parfaite.

La personne que vous aimeriez photographier si vous en aviez l’opportunité ?
Patricia Faure : Edouard Baer, et je voudrais même qu’il m’épouse !

Le/la photographe par qui vous aimeriez ou auriez aimé vous faire « tirer le portrait » ?
Patricia Faure : Helmut bien sûr.

Un livre de photos indispensable ?
Patricia Faure : Helmut.

L’appareil photo de votre enfance ?
Patricia Faure : Un Kodak.

Celui que vous utilisez aujourd’hui ?
Patricia Faure : Canon/Leica.

Votre drogue préférée ?
Patricia Faure : La weed bio avec une eau de coco (fraiche).

Le meilleur moyen de déconnecter pour vous ?
Patricia Faure : Un cours de Bikram.

Quelle est votre relation avec l’image ?
Patricia Faure : Bof ! La ménopause n’aidant pas…

Que voyez-vous lorsque vous apercevez votre reflet dans un miroir ?
Patricia Faure : Des rides sous les yeux mais toujours un sourire ultra-bright.

Votre plus grande qualité ?
Patricia Faure : Ma bêtise.

Votre dernière folie ?
Patricia Faure : Décider de ne plus boire une goutte d’alcool.

Une image pour illustrer un nouveau billet de banque ?
Patricia Faure : PAS D’IMAGE…  2 mots, côté pile : WILD, côté face FREE.

Le travail que vous n’auriez pas aimé faire ?
Patricia Faure : Être la femme de…

Votre plus grande extravagance professionnelle ?
Patricia Faure : C’est en cours…

Quelles différences entre photographie et photographie d’art ?
Patricia Faure : Une question de point de vue.

La ville, le pays ou la culture que vous rêvez de découvrir ?
Patricia Faure : Plus que découvrir un pays, une ville ou un culture, j’aimerais expérimenter de vivre avec des gorilles.

L’endroit dont vous ne vous lassez jamais ?
Patricia Faure : La ponche à St Tropez.

Votre plus grand regret ?
Patricia Faure : Ne pas avoir la recette des pâtes au pistou de ma mère.

En termes de réseaux sociaux, êtes-vous plutôt Instagram, Facebook, Tik Tok ou Snapchat et pourquoi ?
Patricia Faure : Tous et c’est l’enfer !!!

Couleur ou N&B ?
Patricia Faure
 : Les 2 mon capitaine.

Lumière du jour ou lumière artificielle ?
Patricia Faure : Jour/nuit.

Quelle est, selon vous, la ville la plus photogénique ?
Patricia Faure : Je ne suis pas très citadine, je préfère un village, une petite île, un sentier paumé.

Si Dieu existait, lui demanderiez-vous de poser pour vous, ou opteriez-vous pour un selfie avec lui ?
Patricia Faure : Dieu est un fumeur de Havane.

Si je pouvais organiser votre dîner idéal, qui serait à table ?
Patricia Faure : Mes parents et mon frère.

L’image qui représente pour vous l’état actuel du monde ?
Patricia Faure : Les Kardashian.

Qu’est-ce qui manque dans le monde d’aujourd’hui ?
Patricia Faure : Les « Treets ».

Si vous deviez tout recommencer ?
Patricia Faure : Je la recommence déjà tous les matins.

Le mot de la fin ?
Patricia Faure : Je ne dine jamais le premier soir !

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