Je garderai de Martine le souvenir de sa douceur, de sa générosité, et de sa capacité d’émerveillement, comme ce soir de novembre 2005 où elle regardait avec admiration son ami le funambule Philippe Petit donner des tours de magie à la fin d’un repas.
Sa photographie des deux petites filles jaillissant d’un mur à Tory Island représente pour moi tout ce qui faisait sa force: la lumière, la confiance, la jouissance partagée des plaisirs de la vie.
Pauline Vermare