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Fabrice Eola

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Il n’y a pas de cuisine sans humain.
L’humain, de l’intelligence à la bêtise.
La pensée de l’autre: Cuisinier, beau métier, passion amour.
Comme un couple qui se serait trouvé.
 
L’être humain de son intelligence à sa bêtise.
Diriger, commander, exécuter, produire: phantasmes.
Oui,phantasmes! le cuisinier comme un artiste du design à la color dans l’assiette.Où est passée la bible de pensée d’Escofier?
Pourtant oubliée jusqu’aux travaux du futur restaurant.
Cuisinier, métier de production, gestion des denrées, logistique, matériel.
Des heures de mises en place pour un envoi de service en moins de 1h à 2 h sur un à deux services, un goût à micro-ondes remplace le piano à chauffer du sonore instinctif, non pas d’erreur, juste de la percussion, précision sans goût de la reproduction,
photos d’un visuel, penser comme un jardinier, tous le monde veut son assiette à la même heure, manger.
« Manger le cuisinier ». A-t-il fait sa prière avant de commencer? 
Qu’elle soit de qualité ou médiocre ou transformation,
possibilités de les mettre en avant sans penser à un décor mais d’abord à un goût,
non, la cuisine est un métier, une formation, un résultat final. Les mixeurs sont là.
La main d’un geste qui était devenue du mécanisme a disparu à un certain niveau de gamme,la séparation d’un fouet à sauce, à blanc: où est sa différence aujourd’hui?
Tous le monde a son balsamique, son huile d’olive.
Merci au magazine des tendances qui aident à créer son cadre avec du mobilier Ikea ou Habitat.Ha,oui Monsieur Arnaud de Montebourg: ha, vive la madeleine faite en France.
Elle déroule une chaîne, mécanisme manuel, acquise à cette formation.
Quelle soit food ou culinaire son déroulement a ces logiques: le cuisinier n’est pas un homme à tout faire.
Ce n’est pas une machine à laver, ni à sécher
Il peut penser.
Une salle de restaurant, un cadre n’est pas égal le plus souvent à ce cagibi office de placard pensé comme cuisine pour l’envoi de cent couverts.
La référence Michelin n’est pas la réalité de la cuisine française ou la réalité phantasmée du marché à la recherche d’un public.
La demande, la copie ne sont pas dignes de réussite, de satisfaction, ou de qualité. La demande d’un public n’est pas la bonne raison à penser.
Un public doit rester à sa place et un métier aux attentes bien manger ou mal, au moins une prise de risque une bonne attention à bien faire ce métier.
Un musicien fait sa musique.
Un cuisinier fait sa cuisine.
Et non une demande d’un restaurant sans personnalité qui demande au cuisinier de trouver ce qu’il a été incapable de trouver.
Le public ne doit pas passer le commandeur. Le cuisinier a sa responsabilité à créer le goût le style qui fait venir une clientèle.
 Le restaurant routier me manque aussi bien ce petit bouiboui où on manger superbement bien à côté des cafards.
Les normes HACCP et les fondateurs de chaînes,
les sous- traitances en tous genre à trouver de la main d’oeuvre bon marché, merci de vos recrutements de cuisinier aseptisé.
A comprendre le manque à avoir sa propre personnalité pour vous représenter dans votre pensée.
Le noir le blanc.
Mais c’est la différence de formation, le prix du salarié qui fait croire à votre évolution des hommes, des ethniques,

 

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