A la mort de François Mitterrand Avec la distance distance, j’aurais dû le prévoir. Il m’avait permis de l’accompagner pendant la campagne électorale qui l’avait conduit a la présidence de la France. Après il m’attrapa dans la toile d’araignée de ses machinations et je suis resté prisonnier de ses largesses. Il me laissait approcher quand il voulait et d’autres fois son regard me disait qu’il acceptait ma présence, mais pas l’acte photographique. Dans un dialogue qui s’est étendu de 1977 à 1995, l’intermédiaire a toujours été l’objectif de ma caméra. Il m’a fait cadeau de moments incroyables, petits gestes intimes...
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