Walter Benjamin (dans Illuminations) nous donne à réfléchir dans un passage où il décrit le travail du traducteur comme les tessons d’un objet brisé. Pour que les pièces s’assemblent, elles doivent « se suivre dans les moindres détails, mais ne doivent pas nécessairement se ressembler ». De même, une traduction doit suivre la langue d’origine afin de « rendre les deux reconnaissables comme étant les parties brisées d’une langue plus…
