Tutto ritorna (Tout revient)
Le scénario qui s’est présenté à mes yeux était déprimant et déconcertant, difficile à comprendre, mais surtout à accepter.
Chaussures, canettes, pneus, bouteilles usagées, canettes de bière et chaises en plastique, voilà à quoi ressemblait la plage de Licola Mare, une station balnéaire populaire à l’ouest de Naples, un dimanche matin de mars de cette année. Des objets qui ne poussent pas sur la plage et qui ne naissent pas dans la mer, mais grâce au sens élevé de la civilisation de l’homme et grâce aux fleuves et aux canaux, nous nous débarrassons de ce que nous ne voulons pas en inondant les plages et les mers, mais la nature nous le rend inévitablement après chaque débâcle…
Salvatore De Rosa
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