Quinn est l’histoire fictive d’un jeune homme, William Henry Quinn, qui a marché du sud-ouest de l’Angleterre à l’extrême nord de l’Écosse à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Bien que fictif, le travail est une réponse aux expériences réelles de jeunes hommes et femmes qui ont subi des traumatismes à la suite de conflits et de tragédies personnelles, les laissant souvent en marge de leur passé et incertains de leur avenir.
Alors que les vies changent à jamais, les catastrophes imposées par les catastrophes naturelles ou causées par l’homme, les crises sociales et économiques, la guerre et la violence, les gens partent à la recherche d’une nouvelle vie, voyageant de toutes les manières possibles pour trouver une nouvelle maison, un projet de vie et reconstruire leur place dans le monde.
Alors que William Henry Quinn poursuit son odyssée, nous faisont avec lui le voyage physique et métaphorique à travers le paysage britannique, qui a changé et n’a pas changé depuis les années 1940. Les anciennes ruelles et chemins empruntés par Quinn et d’autres sont restés inchangés, mais avec l’immuabilité du changement et la nature incessante du temps qui passe, les vies et les souvenirs changent et s’évanouissent. En apprenant son histoire, nous en venons à mieux comprendre notre propre recherche d’un sens existentiel et à réfléchir à notre propre but dans la vie.
Quinn est une méditation sur le chagrin, la perte, la solitude, la recherche humaine de sens et la possibilité de rédemption à travers le temps et le paysage. Il fait entrer le passé dans le présent et nous laisse nous interroger sur l’avenir.
«Le plus grand danger de tous, se perdre soi-même, peut se produire tranquillement, comme si cela n’était rien…. Mes meilleures pensées ont été trouvé en marchant, et je ne connais aucune pensée si lourde que l’on ne puisse pas la quitter. Ainsi, si on continue à marcher, tout ira bien.
Søren Kierkegaard
FORMAT19: Musée Crich, Crich 15 mars – 14 avril