Tout le gratin de la gauche intellectuelle parisienne se pressait autour de Jacques Lang et Pierre Bergé pour l’exposition de Dominique Issermann, à la Maison Européenne de la Photographie, consacrée à ses images de Laeticia Casta. Un autre photographe lui disputait la vedette, Youssef Nabil et ses photos colorées. Yan, lui n’avait d’yeux que pour les sublimes tirages noir et blancs de Dominique.
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