A l’occasion de la Biennale Internationale de Photographie d’Ostende, la Galerie Papillon ouvre ses portes à deux photographes de renom avec, à première vue, des travaux très différents : une apporte la photographie conceptuelle, l’autre défend une approche plus documentaire ; une parle de la fragilité des relations humaines, l’autre photographe questionne la guerre robotique. Et puis, en regardant de plus près, on découvre de nombreuses similitudes : tous deux abordent le thème qu’ils ont choisi de manière unique et inspirante, tous deux incitent à la réflexion, tous deux optent pour une approche plus symbolique. Comme tel, ils s’accordent parfaitement avec les peintres ostendais Ensor & Spilliaert. Mais ils s’inscrivent aussi parfaitement dans le thème du festival, (In)Quiétude – le malaise que nous ressentons parfois face à des relations en mouvement, le malaise de l’incertitude latente, le malaise généré par une menace cachée, en d’autres termes, l’inquiétude de l’existence humaine.
L'accès à ce contenu est réservé exclusivement à nos abonnés. Si vous êtes déjà membre, vous pouvez vous connecter ci-dessous.
Abonnez-vous aux archives pour un accès complet à L’Œil de la Photographie !
Ce sont des milliers d’images et d’articles, documentant l’histoire de la photographie et son évolution au cours des dernières décennies, à travers un journal quotidien unique. Explorez comment la photographie, en tant qu’art et phénomène social, continue de définir notre expérience du monde.
Deux offres sont disponibles. Abonnez-vous à l’offre sans engagement pour 8 € par mois ou à l’offre à l’année pour 79 € (2 mois offerts).