La Fondation LUMA lance le premier numéro de « ARLES », son magazine bi-annuel disponible en anglais ou en français.
« ARLES » est ancré dans le territoire mais ouvert sur le monde. Il propose une perspective nouvelle, un regard du Sud pour éclairer la créativité en Méditerranée. Son point de vue, décalé, non aligné, voire exotique, est le produit d’un territoire à la fois ballotté par les bourrasques de l’Histoire et confiant dans la permanence d’un héritage humaniste plurimillénaire.
« CULTURE », « NATURE » et « IMPERMANENCE » sont les mots-clés de ce magazine qui se veut à échelle humaine et à portée universelle.
« CULTURE »
« ARLES » éclaire la créativité en Méditerranée dans tous les domaines de la culture : arts, mode, art de vivre. Le magazine montre comment des créateurs du monde entier s’inspirent du Sud et le nourrissent en retour. Dans le numéro de lancement on trouvera des entretiens avec WILLEM DAFOE et JULIAN SCHNABEL sur leur nouveau film consacré aux dernières années de Vincent van Gogh en Provence ainsi que des visites en images de deux demeures arlésiennes hors du commun, l’hôtel Arlatan transformé par l’artiste américain JORGE PARDO et la maison « d’artiste » du photographe FRANÇOIS HALARD.
« NATURE »
« ARLES » est proche de la nature et loin des centres urbains. Il prend le temps des rencontres et des discussions, de la contemplation et de l’émerveillement. Son premier numéro présente des photos éblouies par la lumière arlésienne de MARK BORTHWICK, une excursion à la plage sauvage du Grand Radeau avec TONY GATLIF et des membres de la famille BALIARDO, un entretien avec les fashionistas écoguerrières ALEXIA NIEDZIELSKI et ELIZABETH VON GUTTMAN, une visite guidée d’ATELIER LUMA, champion du recyclage créatif de déchets camarguais.
« IMPERMANENCE »
« ARLES » est sensible à ce qui perdure comme à ce qui évolue. Des articles sur LA FACE CACHÉE DU DELTA de Camargue, sur la compagnie d’artificiers GROUPE F installée entre Rhône et rizières ainsi que les bonnes adresses arlésiennes d’ANNE IGOU, propriétaire du mythique Grand Hôtel Nord-Pinus, dévoilent cette part d’inconnu qui se cache dans ce qui nous semble familier.