La plupart des gens familiers avec le travail de Marcia Resnick la connaissent pour Re-visions, sa série de photographies drôles et intelligentes qui dépeint le passage d’une pré-adolescente à la féminité et pour ses portraits de « bad boys » – musiciens, artistes et lécrivains de la scène new-yorkaise – réalisés dans les années 1970 et 1980.
Une nouvelle exposition chez Deborah Bell Photographs, à voir à partir de cette semaine à New York, compile les premières photographies de Resnick, réalisées peu de temps après son diplôme à Cal Arts (Los Angeles), où elle poursuivit une exploration beaucoup plus vaste des contradictions inhérentes, et souvent humoristiques, entre l’art et la réalité.
