L’histoire, ou plutôt le concept de cette série, c’est comme son propre nom l’indique en langue Tachelhit (Berbère): « Amarg » , la nostalgie. La nostalgie de ces lieux , bien décrit par Mohammed Khair-Eddine dans son roman : Légende et vie d’Agoun’chich : « ces lieux où l’on éprouve l’envie irrésistible de communiquer avec le cosmos, où la géologie et la métaphysique se mêlent en de multiples images qui vous laissent en mémoire une marque indélébile comme le sceau magique de la sérénote blanchie par les souffles purs de la genèse ». Le sujet humain porte une djellaba, car j’ai toujours trouvé qu’elle dégage une aura mystique propre à ces lieux là.
Zakaria Wakrim