Cette série photographique est une tentative symbolique de connecter un être humain avec son lieu de vie. À une époque où la distance n’est plus un obstacle et quand s’installer et de s’identifier à un espace devient plus difficile. En regardant à travers leurs fenêtres, les visages sont pensif et solitaire. Leurs corps sont reflétés sur la vitre de la fenêtre et cela crée avec l’espace environnant une synthèse naturelle des pseudo–images et paysages réels.
Lire l’intégralité de l’article dans la version anglaise de L’Oeil.