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UNSEEN 2024 : Galeries 3

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Bildhalle Amsterdam Zurich (Stand 34): Joost Vandeburg (Pays-Bas) 1982 (images 1-3)

Dans cette édition d’UNSEEN, la Bildhalle consacre une présentation solo à l’artiste Joost Vandebrug, qui exposera exclusivement des œuvres inédites. Au cœur de son œuvre se trouvent des paysages imaginaires composés de multiples petites fractales issues de sa mémoire visuelle et de ses voyages.

L’art de Joost Vandebrug explore les limites du médium photographique, caractérisé par son attention méticuleuse aux aspects matériels de la photographie et par ses techniques d’impression non conventionnelles. Les intérêts thématiques de Vandebrug englobent le naturel, le vulnérable, l’éphémère, le poétique, la lenteur et la magie du quotidien. Sa pratique se distingue par une recherche approfondie sur les matériaux, les imperfections faisant partie intégrante du processus créatif. Il imprime ses œuvres sur du papier japonais washi, du papier népalais ou du papier baryté méticuleusement fabriqués à la main. Vandebrug considère que les imperfections sont cruciales pour son travail, car elles révèlent les mécanismes du processus et imprègnent le produit final d’une sorte d’éclat. En outre, elles font écho aux thèmes de son travail, tels que la sensibilité et la vulnérabilité.

La série précédente de Vandebrug, « Exhilarating », reflète un voyage personnel de la peur et de l’isolement vers la lumière et l’espoir, dépeint à travers des cartes en papier faites à la main représentant des paysages de montagne au crépuscule. En choisissant le crépuscule dans cette série, la lumière et l’obscurité sont mises sur un pied d’égalité et deviennent aussi importantes l’une que l’autre. Son dernier projet, « Pillow Book », joue avec l’idée d’un journal intime, en utilisant des monotypes sur papier de mûrier pour explorer la fluidité de la mémoire au fil du temps. Il considère le fleuve comme un symbole de vie, de pureté et de fertilité, ainsi que comme une métaphore du passage irréversible du temps. En plus de photographier des objets naturels collectés le long du fleuve, il capture également des éléments fragiles, comme des fleurs fanées, à l’aide d’un microscope.

Ayant étudié à l’Académie Gerrit Rietveld d’Amsterdam, Vandebrug possède un portfolio artistique varié qui comprend la photographie, le cinéma et divers projets commerciaux. Son documentaire « Bruce Lee and the Outlaw » a été récompensé et salué par la critique, notamment par une critique cinq étoiles du Guardian. Vandebrug a beaucoup exposé, notamment dans des musées de renom tels que le Foam Photography Museum et le FOMU.

Bildhalle Amsterdam
1071 HR Amsterdam
www.bildhalle.ch/

Bildhalle Zurich
8004 Zurich & 8003 Zurich (2 sites)
www.bildhalle.ch/

 

BUCHKUNST BERLIN Gallery Berlin Stand 41 : Johnny Miller (USA)/ SA) (images4-6)

Johnny Miller contribue avec sa série Scènes inégales et Salines à une nouvelle image de l’inégalité

Avec les photographies aériennes de sa longue série « Unequal Scenes », il capture les transitions territoriales et les séparations spatiales entre les différentes parties de la ville et les groupes sociaux, visualisant ainsi les inégalités économiques et sociales d’une nouvelle manière. En même temps, la perspective inhabituelle des images prises à l’aide d’un drone crée un modèle d’abstractions dont le décodage est fascinant, mais qui pointe en même temps vers les injustices sociales et les problèmes et connexions des développements globaux. Une nouvelle façon de voir la ville et ses zones de transition visuelle et sociale, les liens économiques et écologiques qui y sont associés et le lien entre abstraction et illumination.

Les photos de Miller dans la série « Salt Works » ont également été prises à l’aide d’un drone. La perspective inhabituelle sur le paysage coloré crée des abstractions fascinantes à déchiffrer, qui rappellent la peinture moderne expressive, tout en soulignant les problèmes liés à l’intervention de l’homme dans la nature. Les panneaux peints montrent le processus d’extraction du sel : l’eau de mer est acheminée vers des bassins d’évaporation créés artificiellement, où la croissance du sel est encouragée. La couleur de l’eau est créée par des macro bactéries qui changent de couleur à mesure que la concentration en sel augmente. Lorsque les bassins s’assèchent, la couche de sel qui en résulte est récoltée, lavée et transportée.

Johnny Miller a pris des photos pour ses « Salines » dans la baie de Wallvis, en Namibie, et dans la région de la baie de San Francisco.

BUCHKUNST BERLIN Galerie, verlag & agentur
10117 Berlin
www.buchkunst-berlin.de

 

Contour Gallery Rotterdam: Emile Gostelie, Jan Pypers, Tjitske Oosterholt

Emile Gostelie (Pays-Bas) 1957) (images 7-9)

Gostelie étudie le potentiel invisible de notre monde en déconstruisant sans fin une photo originale et en réassemblant ses parties à la main pour créer de nouvelles formes et de nouvelles significations. Compte tenu de son caractère évolutif, son travail consiste en une série interconnectée avec de multiples sous-séries. Il s’inspire des travaux du physicien Ludwig Boltzmann (entropie) et du biologiste Charles Darwin (évolution). Ils ont montré que la nature évolue constamment vers la matière et la vie en recombinant des éléments de base. L’expérimentation aléatoire et le changement sont des lois fondamentales de la nature, qui conduisent à la diversité et à l’adaptation aux circonstances, ce qui implique que notre « réalité » est davantage un événement temporaire qu’un statu quo. Gostelie explore le monde des possibilités, de la variation et de l’évolution en créant de nouvelles formes à partir des parties de la photo originale. En se basant sur le hasard et les essais, il « découvre » constamment différentes « espèces » de formes, avec des variations au sein de chaque espèce. Ce faisant, il aboutit souvent à des structures mythiques et monumentales aux formes séduisantes et sublimes, tout en faisant référence au pouvoir et à la perte. Son travail porte non seulement sur les réalités alternatives, l’évolution et les monuments sublimes, mais il remet également en question la valeur réelle d’une photographie.

Gostelie est fasciné, voire obsédé par la découverte de la diversité et de la richesse de mondes invisibles mais possibles. Lorsqu’il travaille, il devient un chercheur des merveilles de notre univers, ce qui le remplit d’un sentiment de prospérité. Il éprouve un lien personnel fort avec toutes les espèces qu’il a rencontrées et ressent de l’empathie pour leurs particularités. Pour Gostelie, la prospérité vient du fait qu’il se rend compte qu’il fait partie de ce monde naturel insondable mais magique, où embrasser la diversité est vraiment gratifiant.

Jan Pypers (Belgique) 1982 (images 10-12)

Diorama » traite de la perte de notre lien avec la nature et s’inspire des anciens dioramas des musées. Les dioramas sont des boîtes d’observation grandeur nature, en trois dimensions, qui montrent des animaux dans leur environnement. Ils ont été construits avec grand soin dans les musées d’histoire naturelle au début du 20e siècle afin de reconnecter les personnes urbanisées avec la nature. L’utilisation de la perspective forcée créait une profondeur incroyable, donnant au spectateur l’impression de pouvoir voir à des kilomètres à la ronde. Intelligent, incroyablement beau, mais surtout artificiel. Ces fenêtres artificielles sur la nature ne se trouvent pas seulement dans les musées. Les anciennes boîtes d’observation carrées ont aujourd’hui une version numérique moderne. Comme les dioramas, les plateformes de médias sociaux utilisent des éléments visuels pour nous donner une vision polie de la réalité. À bien des égards, la société moderne est complètement déconnectée de la nature. Avec l’avènement des technologies modernes et de l’urbanisation, de nombreuses personnes passent de moins en moins de temps à l’extérieur, loin de la nature, et de plus en plus de temps dans des environnements artificiels. Cette déconnexion a notamment pour conséquence un manque d’appréciation de la beauté et de l’importance de la nature, une détérioration de la santé physique et mentale et une moindre compréhension des relations complexes entre l’homme et le monde naturel. Il est important que les gens trouvent des moyens de se reconnecter à la nature.

La galerie montre aussi des images de Tjitske Oosterholt (Pays-Bas) 1991

Galerie Contour
Rotterdam
www.contour.gallery

 

Depth of Field – Amsterdam: Giuseppe Enrie, Adolphe Braun , Albert Renger-Patzsch, René Geritsen, Gert Jan Kocken

DOF présente des images historiques qui, à l’origine, étaient destinées à la photographie documentaire et au soutien des arts visuels. Mais comment devrions-nous considérer les photos prises vers 1860 ou 1931, qui visaient à capturer la réalité ? Si l’intention des premiers photographes n’était probablement pas de créer un art autonome, leur travail constitue aujourd’hui la base sur laquelle s’appuient les photographes contemporains. En présentant côte à côte des photographies documentaires historiques et contemporaines, DOF vise non seulement à mettre en évidence l’esthétique des procédés photographiques traditionnels, mais aussi à démontrer comment la photographie peut ajouter une nouvelle dimension à des œuvres d’art originales.

Photographie officielle grandeur nature du Suaire de Turin (1932) Giuseppe Enrie (Italie) 1886-1961 (image 13)

Le Suaire de Turin est un tissu de lin dont beaucoup pensent qu’il s’agit du linceul de Jésus-Christ, enveloppant un homme crucifié après sa mort. Giuseppe Enrie, photographe italien réputé pour son habileté technique, a pris la photographie officielle du Suaire en 1932. Ce tirage grandeur nature, d’une grande importance historique, a été le premier à révéler clairement les contours de la figure sur le linceul, suscitant de nombreuses enquêtes et débats sur son authenticité.

L’utilisation par Enrie des techniques photographiques les plus avancées de son époque a permis de capturer des détails inédits. Ses photographies ont joué un rôle crucial dans l’analyse scientifique du linceul, conduisant à diverses études, dont l’analyse médico-légale et la datation au carbone. Si l’objectif premier de ce travail photographique était documentaire, les négatifs d’Enrie ont dévoilé des détails jusqu’alors cachés, ce qui a eu des conséquences considérables sur l’étude et l’interprétation du linceul.

Série de tirages au charbon de 1860 par Adolphe Braun (Allemagne) 1812-1877 (images 14-15)

Adolphe Braun est un photographe français influent qui a commencé à photographier des œuvres d’art en 1860 pour le compte de musées et de collectionneurs d’art. Il utilisait la technique du tirage au charbon, un procédé photographique connu pour sa durabilité et sa qualité exceptionnelle. La société Braun et Cie, pionnière en matière de techniques photographiques, est devenue l’un des plus importants studios de photographie d’Europe.

Sur le stand de DOF, une série de tirages au carbone d’Adolphe Braun datant de 1860 sera exposée, dont des autoportraits de Rembrandt et de Vélasquez, commandés par la Tate de Londres. La main du photographe est encore visible sur les bords du développement non rognés. Combien d’artistes modernes continuent aujourd’hui d’expérimenter la révélation du processus photographique ?

Photographie de la peinture (Wandbild Zyklos) d’Oskar Schlemmer, par Albert Renger-Patzsch (Allemagne) 1897-1966

Oskar Schlemmer était connu pour ses expérimentations sur la forme, la couleur et l’espace. Le « Wandbild Zyklos » de Schlemmer est une œuvre importante dans son travail et dans le mouvement du Bauhaus. En 1937, cette œuvre a été confisquée et détruite par le parti nazi qui la considérait comme de l’« art dégénéré ». Albert Renger-Patzsch, un éminent photographe allemand connu pour ses contributions à la Neue Sachlichkeit (Nouvelle Objectivité), a photographié cette peinture juste avant qu’elle ne soit détruite. Bien que le « Wandbild Zyklos » original n’existe plus physiquement, nous en connaissons encore quelque chose grâce à cette documentation.

Le présent

Images uniques aux rayons X de René Geritsen (Pays-Bas) (images 16-17)

René Geritsen utilise la photographie aux rayons X comme technique pour révéler les couches sous-jacentes des œuvres d’art. Son travail, qui s’inscrit dans les méthodes modernes de détermination de la composition des peintures, est encore réalisé à l’aide de techniques analogiques. Les images radiographiques de Geritsen révèlent non seulement les couches superficielles d’une peinture, mais aussi les structures internes, telles que le bois et les clous. Cela ajoute une nouvelle dimension à l’œuvre d’art. Geritsen associe des procédés photographiques traditionnels à des technologies de pointe, ce qui donne lieu à des approches visuelles et scientifiques uniques. Ses travaux photographiques font ainsi le lien entre la photographie d’investigation et l’interprétation artistique.

Gert Jan Kocken (Pays-Bas) 1971 (images 18-19)

Gert Jan Kocken est un photographe dont le travail s’inscrit dans la thématique de cette exposition. Kocken est connu pour sa documentation sur les événements historiques et politiques. Sa série de photos « Defacing », 2004-2009, représente des œuvres d’art mutilées qui ont survécu à l’iconoclasme en Europe du Nord au cours des XVIe et XVIIe siècles. Quatre années de recherche, combinées à la précision technique caractéristique de Kocken, ont abouti à des images entièrement nouvelles qui remettent en question la mémoire collective. Grâce à son langage visuel puissant et à sa capacité à découvrir des couches de signification plus profondes, Kocken invite le spectateur à réfléchir à la fragilité de l’art et de la culture et à la manière dont ils peuvent être influencés et modifiés par les actions de l’homme au fil du temps.

Depth of Field – Collectable Historical Photography
1016 SR Amsterdam
www.dof.amsterdam

Einspach & Czapolai Fine Art & Photography Budapest : Tamas Dezsö (Hongrie) 1978 (images 20-22)

Outre l’identité humaine, non humaine et végétale, les œuvres de Tamas Dezsö se concentrent sur la relation de l’être humain à l’environnement et à la nature, c’est-à-dire au monde non humain. S’appuyant sur des recherches théoriques sérieuses, il met en lumière les questions et les problèmes que la crise écologique et la catastrophe climatique en cours, c’est-à-dire les problèmes de notre ère Anthropocène, soulèvent de manière très aiguë en appliquant des formes d’art et des médias variés, notamment des photographies, des statues, des œuvres cinétiques et des installations. Chacune des œuvres de Dezsö aborde un problème qui prend forme à travers les images sensorielles ou la réalité tantôt d’une forêt des Açores, tantôt d’une haie ou d’un pin plusieurs fois centenaires, tantôt du plus petit insecte du monde, tantôt d’un fragment d’une météorite vieille de 4,5 milliards d’années, tantôt de segments et de métronomes du 19e siècle. Les œuvres de Dezsö nous présentent et nous parlent de la fin de la domination planétaire des êtres humains, de leur aveuglement à l’égard de tout ce qui n’est pas eux, et du monde fondamentalement inconnu et silencieux du non-humain – la nature, les plantes, les insectes et les animaux. L’artiste recherche dans l’être humain les traces qui le relient à l’environnement et à l’identité végétale, prouvant ainsi que notre race n’est pas supérieure, qu’elle n’est qu’une parmi les êtres organiques et non organiques du monde.

Einspach & Czapolai Fine Art & Photography   Budapest
H-1054 Budapest
www.einspach.com

 

FLAT//LAND Amsterdam – Leila Jeffreys, Kim Boske

Leila Jeffreys (Papouasie-Nouvelle-Guinée/Australie) 1972 (images 23-25)

Leila Jeffreys est une artiste contemporaine renommée qui travaille dans les domaines de la photographie, de l’image en mouvement et de l’installation. Elle est surtout connue pour ses images d’oiseaux, photographiés à l’échelle humaine, qui explorent et subvertissent les conventions du portrait. Jeffreys, qui vit et travaille à Sydney avec son mari et son fils, considère ses sujets aviaires comme des êtres vivants, dans le cadre d’une pratique qui élargit le cœur du spectateur en attirant l’attention sur l’interdépendance entre les espèces. Le travail de Mme Jeffreys est le résultat de longues périodes de recherche et d’exploration. Dans la tradition des artistes activistes, elle effectue des travaux sur le terrain, collabore avec des écologistes, des ornithologues et des sanctuaires, et défend des programmes visant à protéger et à restaurer les habitats menacés. Jeffreys expose depuis quinze ans en Australie et dans le monde entier, de Sydney et Melbourne à Paris, Bruxelles et Los Angeles. Une semaine après Unseen, son travail fera partie de l’exposition ALPHA // FEMALE, organisée par FLAT // LAND à la Glazen Huis, Amstelpark, les 28 et 29 septembre.

Kim Boske (Pays Bas)1978  (images 26-27)

En allant au-delà du média photographique, qui capture le « moment », Boske collecte des fragments de la réalité qui sont ensuite superposés dans des compositions complexes et hypnotiques qui rendent hommage à l’incroyable complexité de l’élément naturel. Cette multitude de couches peut être interprétée comme un jeu avec les idées écologiques de diversité et de symbiose, embrassant le caractère de l’environnement comme une complexité non hiérarchique et en constante évolution. Boske a trouvé une approche de la nature dans le shinto asiatique au Japon. Le shintoïsme est une ancienne religion de la nature, qui considère la nature comme un tout et l’homme comme une partie de la nature, égale à tous les autres bio-organismes et à la matière. Lors des séjours de l’artiste en résidence à Kamiyama, elle a expérimenté et exploré, avec les habitants du village, de nouvelles méthodes de création d’images. Celles-ci n’incluent pas seulement le visuel et le rationnel, mais aussi le sensuel ; la manière dont l’environnement est expérimenté à travers la matérialité et avec tous les sens. La nature globale de son travail est parfaitement illustrée par les nouvelles œuvres qu’elle a réalisées au Japon en 2023 lors de son séjour en tant qu’artiste en résidence. Dans certaines de ces œuvres, intitulées Kawa no nagare (rivière qui coule ou 川の流れ), aucun objectif photographique n’a jamais été utilisé et Boske a travaillé uniquement avec du papier washi et son propre indigo recyclé, voire uniquement avec du papier washi qu’elle a elle-même produit à la main. Le fait de travailler avec des matériaux naturels reflète, au sens propre comme au sens figuré, l’importance de la diversité biologique par la présence de nombreux micro-organismes du sol dans son travail. Une semaine après Unseen, son travail ferapartie de l’exposition ALPHA // FEMALE, organisée par FLAT // LAND à la Glazen Huis, Amstelpark, les 28 et 29 septembre.

FLAT // LAND
1076 DW  Amsterdam
www.flatlandgallery.com

 

Gallery JAPANESQUE Paris: Yasuo Kiyonaga (Japan) 1948 (images 28-30)
Pour cette édition 2024 d’Unseen, nous présentons à nouvau  l’artiste japonais Yasuo Kiyonaga. Il tente toujours à déborder la limite de la photographie en mélangeant plusieurs techniques et la matière telle que la peinture, le pastel, des branches ou des sables.

Il a choisi cette méthode afin de tenter d’exprimer quelque chose qu’on ne peut pas voir par nos yeux.

Imaginez le temps des arbres dans la forêt des Alpes japonaises par “REAL”, la coexistence de passé et le futur dans l’ancienne capital nipponne par “Turbulence in Kyoto”, la perspective sur le paysage dans la mémoire de l’artiste par “Two landscapes”.

Gallery JAPANESQUE Paris
75006 Paris
www.kyoto-muse.jp/paris/

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