Chronique Mensuelle de Thierry
La période est particulièrement bien choisie puisque les petits et grands mondes des galeries est sur le pied de guerre à plus d’un titre. Le premier concerne la résurrection d’une bonne moitié des grandes messes qui affichent, en ce mois de novembre, un maximum d’images issues de la photographie. A minima, plus de la moitié des manifestations parisiennes qui proposent aux galeries une vitrine universelle seront actives et opérationnelles à la publication de cette chronique. Le deuxième est la sensible réactivation des marchés de la photographie après plus d’un an de végétation. Le troisième point concerne cette longue période de semi immobilisme physique qui a permis aux créateurs, très connus ou encore totalement inconnus de produire abondamment.