Beaucoup de photographes sont forcés de censurer leur travail avant de le publier sur les réseaux sociaux. La sculpture antique, les statues de Rodin, les peintures incluses. J’ai pensé que ce serait logique de coller des étiquettes pour garder la pureté de la photo et pour obéir aux règles. Comme ça, ça n’offensera personne.
En revanche, quels en sont les conséquences ? Nous voyons qu’il n’y a ni beauté, ni corps, ni identité de genre, ni âme. Souvent, je remarque que les expositions sont fermées pour montrer la beauté d’un corps humain. Je suis surprise par l’ignorance et la bigoterie.
Être la déesse n’est pas simple…
Tatiana Shvetsova Yaperova