« Je me sens influencée par la poétique de Jeff Wall, les portraits de Diane Arbus, l’idée du théâtre d’Artaud à Jan Fabre. Je cherche à mélanger différents types de langues dans le même plat. Mon intérêt se concentre sur les limites des villes où les figures peuvent être incorporées dans les espaces urbains pour recréer un paysage de l’esprit. Soliloquie, histoire, dialogue muet, tous les fragments de la vie quotidienne sont mis ensemble. Un endroit où les connections se heurtent aux limites de la réalité : ce projet d’une ville abandonnée est une scène assez extraordinaire. »
Agée de 32 ans, Sara Magni est italienne, elle vit à Milan.