« Le correspondant de guerre est plus gâté en alcool, en filles, en salaire et jouit d’une plus grande liberté, mais au moment critique, être libre de choisir son affectation, c’est-à-dire avoir la possibilité d’être un lâche sans être exécuté, est une torture. Le correspondant de guerre a son sort – et sa vie – entre ses mains, il peut parier sur ce cheval-ci ou là, ou remettre sa mise dans sa poche à la dernière minute. Je suis un joueur. Je décidai de partir avec la compagnie E dans la première vague. »
— Robert Capa