Depuis la révolution, de plus en plus d’artistes tunisiens se lancent dans le rap, le break-dance et le graffiti. La culture Hip-Hop devient un moyen de dénoncer inégalités sociales, chômage et corruption. Ce reportage du français Emeric Fohlen présente l’effervescence et la naissance d’une sous-culture désormais universelle.
Emeric Fohlen, Rhyme is no crime
Les Rencontres Photographiques du 10e
La Grange aux Belles
10e arrondissement
Paris, France