A travers des portraits de la communauté de Calarasi, ma ville natale, le projet cherche à décrire le phénomène migratoire qui touche également tout le pays, à différents niveaux. Après la chute du communisme en 1989 et l’ouverture des frontières, de nombreux roumains ont quittés le pays, à la recherche d’une vie meilleure. Selon les estimations, en 2007, lorsque la Roumanie est entrée dans l’Union Européenne, plus de 2,5 millions de roumains travaillaient déjà à l’étranger. La tendance continue.
Odeta Catana
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