Grâce à des auto-portraits retouchés numériquement, je déforme le corps humain pour explorer les notions de regard, de perception, et de perspective à la fois tourné vers soi et vers le monde physique. Le travail dépeint la manière dont nous éprouvons une limitation de notre perception quand nous essayons de nous voir non pas sous forme d’éléments parcellaires, mais dans notre totalité d’un seul coup d’œil. Ces notions sont inspirées du poème épique de Milton, Paradise Lost. L’acte de lire un poème invite les lecteurs à se considérer avec la froide objectivité de l’auto-examen.
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