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Massimo Gurciullo

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“ Sicily “ suite…

Après la première édition de « Sicily » en 2017 pour la maison d’édition portugaise « The unknown books », le projet  grâce à son succès auprès du public a èvoluè sous la forme d’un magazine annuel. Grand format et imprimé sur papier couché brillant fin, et en 2021 cette fois pour un petit éditeur sicilien (FSL edizioni) « Sicily # 2 » voit le jour et, plus tard en 2022 « Sicily # 3 ».

L’œuvre prend forme comme une sorte de journal intime du photographe, sicilien d’origine, qui explore sa terre « tragique et poétique » à la fois.Une Sicile blues.

Ce n’est pas la Sicile des clichés les plus connus, c’est un regard differend que permet de voir la Sicile autrement, dans une terre qui a connu 13 dominations dans l’histoire, la tragédie est presque un esprit vivant. En 2023 “ Sicily # 4 “ et le numero 5 vien d’ètre publiè cette anneè.

“Ne surtout pas dormir. La nuit est dense, cruelle, impénétrable, il faut rester aux aguets, s’accrocher aux moindres points de lumière, et tenir dans l’errance jusqu’au petit matin. Sicily, du photographe Massimo Gurciullo, est le nom de code d’une terre sauvage et baroque, catholique et païenne, clanique et sensuelle”. (Fabien Ribery)

C’est impressionnant comment les images parviennent à trasmettre le sens de solitude nous offrant un approche complexe de l’existence, la photographie a toujour ètè une activitè solitaire. J’aime le jazz et je trouve beaucoup de points qui se touchent entre la photographie et la musique jazz, quand la photographie se proposé avec plus de liberté par rapport aux impositions techniques ou formelles, la technique n’est qu’une des composantes.Comme disait Jean Baudrillard, il faut chercher un transfert poétique pour produire l’émotion du  réel sur une photographie. Mes photos representent une rencontre  accidentale  entre le tragique et le poètique.

A lire Sicily #3 on a l’impression que le photographe aurait croisé Nobuyoshi Araki et Martin Parr pour emprunter chez l’un et l’autre le meilleur.Parce qu’il y a dans les images de Massimo une esthétique trash, comme un Do It Yourself vital et ironique.” ( Frèderic Martin)

“As a writer he’s also a strong reader, a good photographer must love the work of his great colleagues and, it must be said, Gurciullo declines well every lesson absorbed. In his photographs Sicily, be it represented by her children – the impromptu portraiture is painful and poetic – or the glimpses that seem to break out of an enveloping darkness, refers to the great lesson of Moriyama, to his « constructions » fast and nervous , as something to capture before it vanishes to deliver it in full to the contemporaneity of a visual grammar or, alternately, to the D’Agata « quick visions ».

(Giuseppe Cicozzetti – Scriptphotography)

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