Brouillard vosgien
Dans la vastité des paysages, ma curiosité aiguisée et sans ambages
Dans le brouillard mon regard s’est posé
La brume dissimule l’horizon et hypnotise les forêts
Paysages dépouillés, dénudés
Tapis de feuilles sous mes pieds
Couleurs métamorphosées
Deux saisons s’entrecroisent et rivalisent de beauté
L’automne a déshabillé les arbres et l’hiver ne les a pas encore revêtus de sa robe blanche
Lumière tamisée, diffuse, sur des paysages sublimés.
Marie-Thérèse Cordier