Et voici ma rengaine hebdomadaire. L’Ukraine, cinq photos sur 29, les photographes locaux sont à l’œuvre. Cette guerre est un jeu de dupes. Il y a les uns qui avancent et les autres qui reculent. Et sans surprise. C’est que le paranoïaque compensé de Moscou doit faire peur, lui et ses amis de Téhéran, de Damas, de Pyongyang et je dois en oublier. Et j’ajoute tous ces individus qui, aussi nous gangrènent le quotidien ; le malade mental assassin de Copenhague, les petits jeunes imbéciles et ignobles profanateurs, les abrutis du club de foot de Chelsea, les scandaleux patrons de HSBC Suisse… Pas de quoi se réjouir mais raison de plus à se sentir toujours apte à lutter contre toutes les barbaries. Pas avec l’idée d’un autre temps, Oh combien honorable de résistance mais avec celle de l’offensive. Une offensive idéologiquement parfaitement claire, avec une détermination puisée dans l’intelligence, une volonté d’action équivalente, une exaspération du possible. Un possible que les ennemis du « savoir vivre ensemble », fossiles de la Pensée que l’Histoire a déjà condamnés avant même leurs sinistres méfaits soient en fin de « course ».
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