Je choisis les photos dans les journaux telles qu’elles m’arrivent, au jour le jour, en tournant les pages. Pas d’a priori, je subis et suis (sic) l’information. Je n’ai pas de prédilection particulière à tartiner les conséquences toujours tragiques de l’inculture, de la connerie. Cette semaine, sur 32 photographies, 15 montrent des événements violents, actions en cours ou passées. Guerres, massacres, destructions, racisme, haine, accidents, tous ces mots comme des pléonasmes, à signification banalisée. La photographie de presse peut-elle titiller des consciences chassieuses, entraîner plus qu’une modeste gesticulation ? Je ne peux qu’espérer.
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