Jamais depuis que je suis en charge de cette revue de presse, triste aussi triste je me suis trouvé. Mais que ce passe-t-il pour que les journaux,( certes je ne les regarde pas tous), que j’observe, pourtant réputés pour avoir une « politique visuelle » soient aussi dépourvus de volonté à être visuellement dans le signifiant et non pas dans l’illustration. Ce n’est pourtant pas plus cher, mais certainement plus facile, plus facile d’être médiocre. Chercher, prendre des risques n’est pas à l’ordre du jour. Des Festivals, des Galeries photos, le net nous montre tous les jours de l’intelligence, de la beauté, de véritables discours photographiques. De grâce, réveillez vous, oubliez les publicitaires aux montres révélatrices de leur atonie neuronale. Au travail !
Michel Philippot