Ecrire sur la semaine passée, sur les photos de cette revue de presse va être très bref.
Un Pape part, un Pape arrive.
Stéphane Hessel meurt, je ne vois pas de successeur.
Dans les deux cas, beaucoup de commentaires. Sur Stéphane Hessel, il faut remarquer les dires du « centre modéré » français ainsi que de la bonne droite réformatrice. Représenté ce matin (France Culture, « Le Bien Public, 11-12h) par J.Louis Bourlanges qualifie l’opus « les indignés » de « livre misérable », se plaint du » Panthéon subito » qui a suivi la mort de Mr Hessel mais, cependant, le trouve respectable dans le « mystère romanesque des origines », souligne « l’habileté du diplomate » et « le courage d’avoir risqué sa vie »… Mr Bourlanges, prof à Sciences PO, Paris ne sais pas que ce livre « misérable » n’est pas un livre de théorie politique mais un opuscule citoyen, de réaction, de re-création face aux nombreux tourments que subissent une très, très large majorité des populations européennes, un livre de conscience. Une conscience loin de la bonne pensée confortable dans laquelle votre idéologie a trouvé refuge. Bien sur ce livre est dans » l’incapacité de tenir un discours de réforme ». Mais Mr Bourlanges, avant d’élaborer une quelconque réforme, il faut avoir un niveau de conscience suffisant et pour bâtir quelques éléments de réponse. Sans être mon maître à penser, je cite sans gêne aucune Lénine qui a écrit dans « Que faire » (1905) qu’il y avait une nécessité à faire » l’analyse concrète de la situation concrète ». Cet auteur ne vous est certainement pas familier… fondamentalement pas grave !
Pour ceux qui ne veulent pas voir, je parle de photographie, au dessus.
De sa pratique de ce que l’on en fait, ou pas…. Mais ce Professeur à Sciences Po, enseigne, forme ou, déforme… vous voyez bien que cela a un rapport avec la photographie. Ce ne fut pas si bref, j implore votre pardon. Vous n’êtes pas obligés de me lire non plus, regardez les photos c’est mieux.
Michel Philippot
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