Ah, l’angoisse de la page blanche… je ne me prends pas pour un écrivain, n’ ayez crainte. Avant d’écrire il faut choisir la photo, l’info… que de dilemmes… faire un commentaire sur les photos me semble être de plus en plus superfétatoire sauf … quand un petit prince s’immisce sur des pages et des pages dans les journaux pour se raconter. Le même qui s’était déguisé en nazi, pour rire.
Le dénouement de la prise d’otage en Algérie est tragique, dès le départ, la mort était là, pas de déception, la pensée vérolée fait son œuvre.
Finalement, je ne peux m’empêcher de commenter, de prendre parti et si cela est épuisant, je vous assure, il y a du réconfort à ne pas supporter l’insupportable.
Bonne semaine.
Michel Philippot