Kristina Sereikaite (née en1980) est une photographe artistique et vidéaste lituanienne. Le chemin artistique de Kristina Sereikaite se trace entre la France et la Lituanie et puise son langage narratif photographique dans la pratique de la vidéo.
Après ses études supérieures de la mise en scène de Théâtre, elle se tourne vers la photographie. En 2005 elle reçoit le 1er prix du Concours de photographie organisé par le Centre culturel français de Vilnius auprès de l’Ambassade de France sur le thème “Un moment de tendresse”. Ce concours a été organisé dans le cadre de l’exposition rétrospective de Robert Doisneau, grand photographe français. Suite à cetet expostion une autre exposition personnelle „Voyage sans bagages“ a été présentée au Centre culturel français de Vilnius.
En 2006 Kristina Sereikaite a obtenu le diplôme l’Ecole supérieure de photographie de Vilnius. En 2007 elle fait un stage à l’École Nationale Supérieure de la Photographie à Arles. C’est dans cette école elle a créé la série de photographies « Josette »,accompagnée d’un documentaire vidéo « Souvenirs de Josette » sur une veille dame arlésienne. En même année Kristina Sereikaite expose sa série «Josette » dans le Festival des rencontres d’Arles. Deux ans plus tard, la jeune photographe présente une exposition avec Desideria Burgo Delle Gazzere (Italie) „Ces femmes qui courent avec des loups“ à la galerie STIMULTANIA à Strasbourg. Elle y projette aussi son documentaire vidéo. Récemment elle a complété ses travaux par un projet photographique « Je suis. Je serai » lié à la nature spontanée de la femme qui a été publié et diffusé dans le concours « Entrevues »par l’association Fetart. Après elle présente aussi une exposition personnelle de sa nouvelle série « Je suis. Je serai » dans la Galerie de Photographie de Vilnius”, étant une débutante du Festival international de photographies “In Focus”.
En 2010 Kristina Sereikaite tient une exposition collective „FEMMES avec VUE“, présentée par la galerie „Artfiler“ dans le cadre du Mois de la photo à Paris.
Cinq artistes femmes ( Cynthia CAPPE, Marikel LAHANA, Francesca DI BONITO, Caroline BOYER, Kristina SEREIKAITE) partagent un language contemporain en affirmant une vision d‘auteur. Suite à cette exposition les ouvres de Kristina Sereikaite ont été exposés dans l’exposition de l’art contemporain “Archipiélagos de imagines”, Verakruz, Mexique. En 2011 elle présente une exposition personnelle „Innocence“ dans la galerie du Columbier, Paris, France.
Kristina Sereikaite travaille comme une photographe free-lance dans les domaines suivants : le cinéma et les travaux artistiques indépendants.
En ce moment l’artiste continue à faire ses études à l’Académie de Musique et de Théâtre de Lituanie, profession de directrice de la photographie.
Les sentiments à l’extrémité d’une âme de la femme ne dépendent pas de l’âge ou de l’expérience. Ils deviennent aigus à la présence d’une réalité effrayante et visible aux moments où l’horreur d’existence devient des associations et vice versa. L’endroit entre “je suis” et “je serai” est mystique et non défini. Il manque des mots et des pensées, mais il a quelque chose d’attrayant en soi. Essayons de le trouver.
COURT BIO
Kristina Sereikaite (née en1980) est une photographe artistique et vidéaste lituanienne. Le chemin artistique de Kristina Sereikaite se trace entre la France et la Lituanie et puise son langage narratif photographique dans la pratique de la vidéo.
Après ses études supérieures de la mise en scène de Théâtre, elle se tourne vers la photographie. En 2005 elle reçoit le 1er prix du Concours de photographie organisé par le Centre culturel français de Vilnius auprès de l’Ambassade de France sur le thème “Un moment de tendresse”. Ce concours a été organisé dans le cadre de l’exposition rétrospective de Robert Doisneau, grand photographe français. Suite à cetet expostion une autre exposition personnelle „Voyage sans bagages“ a été présentée au Centre culturel français de Vilnius.
En 2006 Kristina Sereikaite a obtenu le diplôme l’Ecole supérieure de photographie de Vilnius. En 2007 elle fait un stage à l’École Nationale Supérieure de la Photographie à Arles. C’est dans cette école elle a créé la série de photographies « Josette »,accompagnée d’un documentaire vidéo « Souvenirs de Josette » sur une veille dame arlésienne. En même année Kristina Sereikaite expose sa série «Josette » dans le Festival des rencontres d’Arles. Deux ans plus tard, la jeune photographe présente une exposition avec Desideria Burgo Delle Gazzere (Italie) „Ces femmes qui courent avec des loups“ à la galerie STIMULTANIA à Strasbourg. Elle y projette aussi son documentaire vidéo. Récemment elle a complété ses travaux par un projet photographique « Je suis. Je serai » lié à la nature spontanée de la femme qui a été publié et diffusé dans le concours « Entrevues »par l’association Fetart. Après elle présente aussi une exposition personnelle de sa nouvelle série « Je suis. Je serai » dans la Galerie de Photographie de Vilnius”, étant une débutante du Festival international de photographies “In Focus”.
En 2010 Kristina Sereikaite tient une exposition collective „FEMMES avec VUE“, présentée par la galerie „Artfiler“ dans le cadre du Mois de la photo à Paris.
Cinq artistes femmes ( Cynthia CAPPE, Marikel LAHANA, Francesca DI BONITO, Caroline BOYER, Kristina SEREIKAITE) partagent un language contemporain en affirmant une vision d‘auteur. Suite à cette exposition les ouvres de Kristina Sereikaite ont été exposés dans l’exposition de l’art contemporain “Archipiélagos de imagines”,Verakruz, Mexique. En 2011 elle présente une exposition personnelle „Innocence“ dans la galerie du Columbier, Paris, France.
Kristina Sereikaite travaille comme une photographe free-lance dans les domaines suivants : le cinéma et les travaux artistiques indépendants.
En ce moment l’artiste continue à faire ses études à l’Académie de Musique et de Théâtre de Lituanie, profession de directrice de la photographie.
CRITIQUES ARTISTIQUES
Le trait exceptionnel de Kristina Sereikaite dans le milieu de jeunes photographes de la Lituanie est la mise en scène bien sentie, la recherche non fortuite des personnages. La présentation narrative des photographies de l’auteur crée un secret, l’intuition naturellement, lui-même, en permettant au spectateur de chercher la réponse, sans fermer sa fantaisie dans le piège. La première impression ouvre seulement la porte dans le labyrinthe dont les sorties sont différentes, et chaque spectateur découvre le sien, lié justament à son expérience et à sa conception du monde, en recevant ce voyage comme un cadeau personnel. Selon le critique d’art Gytis Skudžinskas « Les images mis en scène et liés par les fils à peine palpés mutuellement dénotent sur le message principal laissé derrière le cadre, montrent la complexité et flexibilité des échelons des figures, en changeant la narration. Les tôles photographiques pleines de références, signes et parfois de citations laissent au spectateur la liberté de créer son triller court-métrage. En regardant les photographies de K. Sereikaite, on peut s’imaginer toute le sentier sonique, très varié : du silence tinté au bruissement orageux dans les rideaux et au cri horrifié ».