C’était hier avec sa métaphore historique ‘’New York la ville qui ne dort jamais’’.
Mais aujourd’hui nous sommes dans un cité où la fatigue semble bien plus un mal qu’une vertu où elle frappe de plus en plus de nos contemporains.
Les streets New-Yorkaises, par les pollutions lumineuses et sonores qu’elles produisent, forment des espaces-temps structurellement insomniaques.
A travers mes recherches dans les streets J‘ai choisi nos contemporains qui n’ont pas perdu le sommeil dans cette urbanisation qui peut tuer le sommeil.
– Jean Luc Connan –