« Dans la photographie industrielle, Dieuzaide excelle à découper les ensembles de béton et d’acier en architectures lumineuses minutieusement composées. Des images fortement équilibrées sur des bases horizontales ou verticales solides, où tout détail superflu est éliminé, il joue les lignes et les lumières pour faire naître une beauté inattendue des plus sinistres raffineries ou usines rencontrées. Un véritable élan vers une beauté transcendée, vers une « spiritualité » retrouvée de la matière, en émerge. Ce jeu subtil du graphisme donne force et dynamisme aux divers motifs représentés […] ». J.-C. Gautrand.
Jean-Claude Gautrand, Yan Jean Dieuzaide, p. 76