« Dans toutes les réunions photographiques auxquelles j’ai participé, venait le moment où Jean se saisissait de son Leica, allait et venait, grimpait sur les chaises, choisissait ses angles, se livrait à la danse du photographe. Discret et cependant remarqué, car personne, ou presque, n’en faisait autant. Et la même réflexion revenait : « heureusement qu’il y a quelqu’un pour faire des photos ! ».
Jean Dieuzaide, Une vie de photographes, Le temps qu’il fait, 2004, p. 7, préface de Jean-Claude Lemagny.