ARCHIVES – 1 juillet 2020
On va pas vous raconter de salades sur la « genese » de l’œuvre d’Art mais rentrer dans le brut immédiatement – Voici quel était « ma » base de reflexion qui a présidé à « ma » campagne photographique « Hexagone » ( « ma » car on est deux sur le coup.)
IL EST ÉCRIT, dans le livre de l’Exode: «Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre». (Exode 20.4 et Lévitique 26.1)
Réflexions sur un monde de l’image ; le nôtre abordé en « PHOTOGRAPHIES » avec une méthodologie de travail réflexive. Peut-on concilier les deux ? Peut-on dresser un constat ou bien susciter une réflexion/interrogation sur le monde en devenir ?
L’apparence est-elle une Liberation ou un nouvel emprisonnement ?
Images de femmes dénudées « FEMEN » détournées de leur sens premier le désir pour revendiquer un statut politique.
Deux catégories de Français c’est un parti pris – peut-on marquer les deux = philo Aristote et Platon – Saint Augustin et Thomas d’Aquin
Esprit et Chair
Intelligence et apparence
La suite en images …
Yan Morvan
Parcours de Yan Morvan
Yan Morvan né en 1954, après des études de mathématiques et de cinéma, effectue des reportages sur les Hells Angels et publie en 1974 sa première photographie à Libération. Il publie son premier livre sur les rockeurs en 1976, prémices d’un travail de 20 ans sur les gangs. Il intègre l’équipe de Paris- Match puis du Figaro Magazine jusqu’en 1980. De 1980 à 1988, il couvre les principaux conflits (Iran- Irak, Rwanda, Kosovo,…) au sein de l’agence Sipa et devient l’un des grands spécialistes de la photo de guerre, couronné par le Prix Robert Capa en 1983 pour son travail au Liban et deux prix du World Press Photo. En 1981, sa photo du mariage de Lady Di fera le tour du monde. Il enchaîne les reportages sur des sujets de fond tels que les banlieues, les gangs, les victimes de guerre, les champs de bataille en s’immergeant totalement dans ces différents milieux.
Il est représenté par la Galerie Sit Down à Paris.
