Il y a deux ans, en mars 2011, le Japon captivait les regards de spectateurs du monde entier, glués sur leurs écrans pour observer avec incrédulité les images du tsunami qui engloutissait une bande de 400 kilomètres de la côte du pays. La magnitude et l’horreur de ce désastre naturel étaient incompréhensibles. Un mur d’eau charriant des tonnes de débris avançait à une vitesse stupéfiante pour détruire tout ce qu’il y avait sur son passage. Des communautés entières furent balayées, et des milliers de personnes y perdirent la vie.
Le photographe Hans-Christian Schink s’est rendu dans la région de Tōhoku un an après le passage du tsunami pour documenter ses conséquences. Les photographies qui résultent de son travail sont maintenant collectées dans le livre intitulé Tōhoku.
C’est un livre important parce qu’il nous force à nous rappeler que si la vie a repris son cours antérieur rapidement dans la plupart des cas, à Tōhoku, et par extension dans de nombreuses autres régions du Japon affectées par le tsunami, les conséquences d’une telle dévastation sont toujours très ostensibles.
Lire l’intégralité de Alison Stieven-Taylor l’article de dans la version anglaise du Journal.
Tōhoku publié par Hatje Cantz
Disponible en allemand, anglais et japonais
Textes de Rei Masuda, et graphisme de Ingo Scheffler
132 pp. 60 photographies
30.00 x 24.00 cm, couverture rigide
ISBN 978-3-7757-3548-3