Un récit implicite est inconsciemment réalisée par de «vrais acteurs» sur une «vraie étape». Les images sont placées à l’intersection du documentaire et de la poésie, trouvé et fait. Les polarités sont en jeu. Les hommes et les femmes ne sont ni heureux ni tristes, mais sont en eux-mêmes. Fenêtres, miroirs et cadres amènent inconsciemment le spectateur à se questionner : « Quelle est leur histoire ? », « Quel est leur fardaud ?», «Que dois-je en commun ?». La réponse est suspendu. Il s’agit d’une histoire inédite laissée ouverte pour le spectateur, à compléter.
