Je pensais qu’en 45 ans de reportages dans 170 pays j’avais tout vu, le meilleur et le pire des hommes, guerres, famines, émeutes ,tremblements de terre, volcans, crimes, Tchernobyl, Fukushima, dictatures fascistes ou communistes, pollutions, etc…
Mais là, durant ce reportage de Marseille à Nice, en croisant à peine 20 personnes, et peu de forces de l’ordre, j’ai peine à trouver les mots pour exprimer ce vide.
Comme si l’humanité avait disparu… et se trouver seul, vraiment seul à Saint Tropez au printemps… même le plus tordu des écrivains n’aurait pas fait mieux… ou pire ????
François Lochon