Théorie des coïncidences
Les «coïncidences» déterminent l’état d’être d’un individu, en équilibre et en harmonie avec l’univers. En ce sens, les coïncidences peuvent être comprises comme la loi la plus pure de la nature et, au-delà de la nature, elles représentent le lien perpétuel entre le relatif et l’absolu, ainsi que la naissance de toutes les formes de vie et d’amour. C’est un lien entre la réalité et l’imagination, entre le désir et la fantaisie, entre le corps et l’esprit, entre la vie et la mort. L’importance de tels moments devrait constituer la base de toutes les lois scientifiques, artistiques, économiques, politiques et religieuses, car elles déterminent l’existence et la subsistance d’êtres humains sur la Terre, ainsi que sur toute autre planète. Comme les lois indiquées ci-dessus, ainsi que leur établissement, sont inséparables les unes des autres, cette théorie devient le lien qui pourrait favoriser la quête, la croissance et l’évolution de l’humanité.
Espace: Son = Lumière: Temps
(Alberto Magrin)
Note critique
Les derniers travaux d’Alberto Magrin sont issus de la «théorie des coïncidences» et sont basés sur des médiations suspendues entre la terre et le ciel, entre le monde du mondain et celui des rêves. À la manière d’un chaman moderne, l’artiste reçoit des messages et nous les transmet sous forme d’images photographiques accessibles à tous. Le lyrisme qui distingue ses œuvres en fait partie grâce à un jeu ironique sur le hasard, un destin tracé qui ne peut s’épanouir à travers la sensibilité de l’artiste. Des œuvres issues de la vie réelle et d’expériences recréées, caractérisées par une signification symbolique, comme si on essayait de réinterpréter le message divin.
(Monica Sampietro)
Une coïncidence en tant que moment de création, origine de l’idée et trajectoire de la forme. Une forme qui est l’image du réel sur laquelle intervient une légère manipulation à la fois ironie et drame, sourire et choc, dans une dimension de l’image où tout peut être le contraire de tout, où ce que l’on voit au premier abord le regard est la seule apparence et derrière chaque apparence vit une réalité camouflée. Il appartient à l’observateur de reconnaître ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas: pour ce faire, il est nécessaire de revenir en arrière, et l’artiste peut l’y guider. Comme dans tout travail conceptuel, le titre fait souvent partie intégrante de ce que l’on voit. Alberto Magrin, propose une piste, propose une suggestion: le reste est de l’intuition ou plutôt de la coïncidence.
(Mimmo Di Benedetto)
Informations pratiques
Carrousel du Louvre – Stand R18
Du 8 au 10 novembre 2019
99 Rue de Rivoli, 75001 Paris, France
T +33 1 43 59 46 06
www.fotofever.com
Magreen Gallery
Via della Pineta,5/12
16035 Rapallo (GE), Italie
e-m: [email protected]
e-m: [email protected]
web: www.magreengallery.it
Informations
Carrousel du Louvre - Booth R18
99 Rue de Rivoli, 75001 Paris, France
08 novembre 2019 au 10 novembre 2019