Une exposition des oeuvres de Néo Rauch et des photographies de Roger Ballen, André Gelpke, Ralph Gibson, Duane Michals, Vera Lehndorff, Holger Trülzsch et Arthur Tress.
La peinture invente, la photographie découvre. C’est souvent en ces termes que les deux mediums sont jugés et juxtaposés. Un tel point de vue contredit la foi en l’authenticité de la photographie, par opposition au au mélange délibéré d’illusion et de réalité dans la peinture.
L’exposition Traumwelten – In the Court of the King of Dreams, organisée par Freddy Langer (FAZ), met en parallèle les chimères du peintre, illustrateur, et sculpteur Neo Rauch, issues de la collection de l’entrepreneur Pr. Hans Georg Näder, et d’autres collections privées au sein desquelles l’on trouve des photographies qui présentent des mondes non moins cryptiques que la phantasmagorie hors de proportion de Rauch.
Pour la première fois, un dialogue est ouvert entre l’oeuvre de Neo Rauch et les travaux de photographes internationaux des années 70 et 80, qui défendent des interprétations poétiques et ésotériques de la réalité : Roger Ballen, André Gelpke, Ralph Gibson, Duane Michals, Vera Lehndorff & Holger Trülzsch, and Arthur Tress. Ces images s’ouvrent elles aussi sur un monde étrange et impénétrable.
Vous pouvez lire le texte dans son intégralité dans la version anglaise du Journal.
Traumwelten – In the Court of the King of Dreams
Du 23 août au 25 novembre 2012
Kunsthalle HGN
Karl Wünstefel Weg
Duderstadt
Allemagne
