Sortie chez Dewi Lewis Publishing de The Mothers I Might Have Had (Les mères que j’aurais pu avoir) de Caroline Furneaux.
Lorsque Colin, le père de Caroline Furneaux, est décédé subitement en 2011, elle a découvert une archive de diapositives 35 mm qu’il avait prises dans les années 1960. C’était une série séduisante de belles femmes photographiées dans des endroits idylliques, principalement en Suède. C’est à cette époque qu’il avait rencontré pour la première fois la mère suédoise de Caroline, Barbro, mais la plupart des photographies n’étaient pas d’elle.
Qui étaient-elles toutes ? Pour Furneaux, ces copines évoquaient des stars de cinéma en repos d’une époque révolue. C’étaient des déesses du quotidien qui résumaient l’essence des étés et de la jeunesse scandinaves : courts et intensément doux.
À la manière d’un détective, Furneaux a parcouru les photographies à la recherche d’indices sur qui pourraient être ces femmes et comment son père aurait pu les rencontrer. Elle les a montrés aux membres de sa famille, mais ceux-ci n’en ont reconnu aucune. Cependant, au fur et à mesure que le travail avançait, elle réalisa que ce qu’elle essayait réellement de découvrir était l’identité de ce jeune homme et le père complexe qu’il deviendrait. Par quelque miracle de la lumière et du temps, ces magnifiques inconnues l’avaient reliée à cette version insouciante de son père, et donné une nouvelle vie à leur relation.
Caroline Furneaux est une photographe et écrivaine basée à Londres. Des images de The Mothers I Might Have Had ont été présentées au FORMAT International Photography Festival et présentées dans des magazines, notamment le RPS Journal of Contemporary Photography. C’est le premier livre de Furneaux.
Caroline Furneaux : The Mothers I Might Have Had
Dewi Lewis Publishing
relié
158 pages
56 planches de couleurs
200 mm x 1505 mm
ISBN : 978-1-916915-09-1
25,00 £
www.dewilewispublishing.com
