Dans un poème d’Antonio Feijóil y a un cygne piégé dans la neige, chantant sa célèbre chanson de la douleur, ressentant l’angoisse de sa fin proche, « pleurant des joies perdues ». Sa douleur sonne à nos oreilles comme un beau chant fulgurant. Et nous pouvons aussi parler de la beauté fulgurante des plumes qui saignent dans la blancheur de tout le reste.
Helder Moura Pereira
Traduit par Maria Fernanda Borges