J’ai commencé à faire des scannographies en 2010, comme une expérience conceptuelle et mon refus temporaire de travailler avec un appareil photographique. Peu de temps après, j’ai redéfinit mon approche photographique. En utilisant seulement un scanner à plat sur la peau du modèle – sans lumière extérieure, objectif ou contrôle de l’ouverture – j’ai fini par découvrir ce « royaume magique de la lumière tamisée ». Parfois en remettant en questions les concepts, procédure ou techniques c’est ainsi que l’on obtient les réponses des raisons pour lesquelles un créateur d’images peut briser ses propres limites.
Coco Martin est péruvien, il vit et travaille à New York.
Portfolio week-end sélectionné par Elodie Mailliet