« Le mouvement des particules de lumière, l’accident d’un reflet, l’éphémère des choses fragiles, je considère cela comme une respiration, un souffle de lumière. Ce phénomène peut être ressenti à travers la température, l’humidité de l’air, les particules de poussière.. etc.
L’appareil photographique peut rendre cela possible en arrêtant des instants, en changeant la couleur ou en saturant l’espace à montrer, comme des ‘choses qui naissent du rien. »
Viriya Chotpanyavisut