Je suis habitué à travailler par mauvais temps alors, quand j’ai entendu l’annonce de l’ouragan Sandy, j’ai sauté dans le premier avion pour New York.
Puis un soir, un ami qui vivait à la lumière des bougies m’a invité chez lui sur la 24ieme rue. C’est là que s’est produit le choc – je n’avais jamais pu imaginer la ville SANS lumières ! Il n’y avait rien, mais RIEN. Aucune enseigne de magasin, de feux de circulations ou de lampadaires. Toute la partie Sud de New York était plongée dans l’obscurité.
Christophe Jacrot