A un moment, la tranquillité devient plus que l’absence d’une tension ; lorsque le geste retrouve la stabilité, l’élève laisse le dernier résidu s’en aller. C’est une renaissance, ou même plus : c’est l’annonce que la violence a été neutralisée et il tombe sur le sol maladroitement, comme une robe surdimensionnée. Maintenant inutile.
La série photographique suit ce processus de neutralisation. Il était nécessaire de reconstruire ses moments à passer. Mais cette fois, derrière la vitre floue de la conscience qui va de l’avant. Les yeux que nous ne voyons pas, mais dont le regard voit à travers nous. Les bras s’appuyent sur les souvenirs à la surface.
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